Histoires d'Amour, Fantastiques, d'Horreurs, Policières.....

Un jour Shika rencontre Aurelie et tombèrent fou amoureux !!!et plus tard dans la semaine il rompurent !!

Voila une histoire d'amour xD

bon... attention, c'est long.

x début x

Alex voulait s’enfuir.

Dans une réalité trop crue pour des rêves fragiles, cela semblait être le seul fait gravé dans le béton. L’envie de vouloir échapper à soi-même, à son destin, le désir de ne plus être obligé de répondre à de quelconques attentes, qui sont toujours trop hautes.

Un jour, un matin plus précisément, Alex s’était réveillé en se demandant pourquoi il ne resterait pas au lit quelques minutes de plus… Puis, il s’est demandé pourquoi il ne resterait pas toute la matinée… Ensuite, pourquoi pas prolonger ce repos à un jour ou deux? Tout cela pour enfin se demander, pourquoi ne pas juste fermer les yeux et ne plus se réveiller, jamais?

Pensez-y comme ça :

Si A=B et que B=C, donc A=C.

Si mourir veut dire repos éternel, et que dormir est un concept fantastiquement attrayant, donc mourir est une option alléchante, n’est-ce pas?

C’était donc de telles idées qui flottaient dans la tête d’Alexis Devallons. Pas que ce soit là-dessus que je souhaite élaborer. Seulement, peut-être que ça vous permettra de mieux comprendre le jeune homme, de ne pas juste le pointer du doigt et de le juger faible et dépressif. Peut-être même que cette petite introduction vous rapprochera d’Alex…

Je l’espère.

Car, avant tout, Alex est mon ami.
xx

Envole-toi, Oiseau
Par Dudly

(Note : Non, malgré la phrase que je viens de taper, Alexis est un personnage purement fictive. Toute ressemblance avec une personne réelle est donc une coïncidence.)

xx

Un. Il est préférable de commencer une histoire par le début…

J’ai rencontré Alexis dans la cour de récréation de mon école primaire, en deuxième année. Entre nous, il n’y a pas eu de coup de foudre instantané. Les films aux cinémas qui laissent entendre que les acteurs ont tout de suite sus qu’ils allaient devenir très proches de quelqu’un; c’est affreusement cliché.

Non, notre rencontre était tout ce qu’il y a de plus simple : il voulait jouer au ballon avec moi, mais j’ai décliné son offre avec un air gêné.

Difficile de romancer une telle scène, même avec tous les efforts du monde.

Je ne voulais pas jouer avec ce petit garçon qui, à l’époque, avait des lunettes rondes et un chandail vert forêt à col roulé. À vrai dire, son air un peu perdu et son bégaiement m’avait effrayé.

Il m’a sourit gentiment et m’a dit, « Ce n’est pas grave, Justin. La prochaine fois, peut-être? »

Le fait qu’il connaisse mon nom m’avait surpris. Du coup, ma réponse s’était échappée de mes lèvres pendant que j’étais toujours sur le choc.

« Oui, peut-être demain… »

La perspective a semblé lui plaire. Tout souriant, il est reparti de là où il était venu.

Par-dessus son épaule, il me lança un « Bye Justin! » auquel je ne répondis pas.

Il n’était pas dans ma classe. J’avais brièvement entendu parler de lui, aucune fois en bien. Visiblement, personne ne semblait l’avoir en très haute estime.

Je n’avais pas encore entendu son nom. Chaque fois, mes camarades se moquaient de lui.

On était encore que des enfants…

Néanmoins, du haut de mes huit ans, je savais bien que lui répondre naturellement « Bye, tortue à lunettes! » n’était pas correct.

Maintenant, bien des années plus tard, je pense pouvoir affirmer qu’il aurait rit. Mais il ne serait pas revenu me demander de jouer avec lui, le lendemain. On ne serait pas devenus amis, et il n’aurait personne d’autre sur qui compter dans les moments durs.

Ça aurait été bien triste.


Deux. Petit à petit, l’oiseau fait son nid

Il y a des évidences dans ce monde que plus personne ne questionne, à part évidemment les enfants. Par exemple, si on mélange deux portions égales de peinture blanche et de peinture noire, on obtiendra de la peinture grise.
Il n’y a rien de sorcier là-dedans. Ce n’est qu’une question de logique.

Mais où commence la logique, exactement? Si on étudie le problème logiquement, on déduira que la logique est une solution que l’on obtient lorsqu’on résonne objectivement et qu’on en tire des conclusions évidentes.

Sauf que le bémol, c’est qu’on est rarement objectif.

Quand j’ai commencé à devenir ami avec l’étrange phénomène qu’était Alexis, j’étais un peu honteux, et je m’assurais de lui parler à l’écart des autres. La seule à connaitre mon secret était ma mère. Le rire qui est monté dans sa gorge lorsque j’ai dit fréquenter l’enfant Devallons…

Elle avait rencontré Michelle, la mère d’Alex, lors d’une rencontre de parents.

Mme Michelle La Mère est sans aucun doute l’être le moins objectif qui soit. Elle patauge dans la fierté procurée par son petit bout d’homme, rayonnant à chaque fois que le nom de son fils était prononcé. Elle le disait brave, intelligent, créatif, un vrai génie. Moi, ça m’a fait peur. Avoir peur d’une mère, c’est très embarrassant. Je ne l’ai avoué à Alex que cette année. Il a dit qu’il comprenait.

N’empêche, cette vaillante Michelle m’a attiré dans la vie de son fils avec toute la passion d’une mère poule lorsque son unique rejeton rencontre son premier ami. Cuisinière par métier, elle concoctait les meilleurs repas à Alex, et il y en avait toujours une portion de trop, comme par hasard…

J’ai appris à ne pas faire trop attention aux apparences (ce qui est, vous en conviendrez, une importante leçon de vie) grâce à ses gâteaux au caramel, trop bon pour se soucier des autres. Après avoir goûté au contenu de la boîte à lunch verte d’Alex, j’avais décidé que les autres étaient jaloux. C’est la plus belle excuse quand on veut banaliser les moqueries méchantes comme si elles ne nous atteignaient pas.

Mais aucune flèche, aucune pointe ne se perd vraiment.

À 11 ans, Alex a brulé son col roulé. Il a prétexté que 11, c’était une année adéquate pour mettre les enfantillages derrière soi. Moi, j’ai hoché la tête, de la même manière dont on hoche la tête lorsque notre grand-mère nous explique quelque chose d’important, mais qu’on ne comprend pas, et qu’on ne prend pas la peine de comprendre car c’est notre grand-mère qui le dit.

Trois ans plus tard, ce sont les lunettes qui ont pris le bord. Elles ont été savamment remplacées par des verres de contact. Les filles de notre classe ont approuvé et ont affirmé qu’il avait un air légèrement rebelle, carrément tombeur. J’avais oublié qu’à la base, son apparence repoussait.

Ça faisait six ans. Depuis six ans, j’avais changé de paire d’yeux pour le regarder. Il ne m’était pas venu à l’esprit que son miroir lui n’avait pas changé de regard. Quand on y pense, le miroir : en voilà un bel exemple d’objectivité. Je n’aime pas l’objectivité… mais de toute façon, j’ai un parti pris.

L’alarme, c’était les vêtements noirs. Remarquez, je ne l’ai pas compris tout de suite. Alex n’avait toujours aimé que le vert. Toutes les teintes, toutes les nuances…

Il m’a dit que le noir, c’était aussi du vert, mais du vert transformé, du vert gâché. J’ai répliqué que le noir, c’était pas une couleur. Il m’a dit qu’il comprenait. Alexis comprenait tout ce que je disais, mais ce n’était jamais réciproque.

Elles sont décidemment très fâcheuses, les limites de mon cerveau. C’est que je ne suis pas un génie, moi.

Trois. Puis l’oisillon tomba.

Je n’ai rien compris. Mon taux de compréhension ne s’élevait jamais très haut, mais là, c’était grave. Un jour à l’odeur salée d’eau de mer, sur le bord de la plage, Alex m’a confié vouloir devenir pilote automobile. Sa voix tremblotait tant il était fébrile à la perspective. Je lui ai répondu avec la même excitation vouloir l’aider, devenir son copilote, ou son agent, ou quelque chose d’aussi important pour lui.

Il a dit que je pourrais bien vendre du popcorn que je n’en serais pas moins important. J’ai bien aimé sa pensée, même si l’idée de vendre du popcorn ne me plaisait pas.

Plusieurs années plus tard, il s’est excusé auprès de moi, et il a dit qu’il n’y parviendrait probablement pas. Il avait commencé à conduire et rouler vite lui faisait peur.

Insouciant gamin, je lui aie dit de se pratiquer à rouler plus vite. Il allait surement prendre goût. L’air un peu douteux mais confiant, il m’a écouté. Pas le choix, je suis son seul ami.
On avait tous les deux dix-sept ans. Sauf que son cerveau et sa maturité me devançaient de loin. Si ce n’était à cause de moi, il n’aurait jamais conduit au-delà de la limite de vitesse.

Je suis responsable, j’aurais dû prévoir le pire, comme ma mère le fait tout le temps. Mais moi, le changement de personnalité de mon ami m’aveuglait. Sa simili-crise d’adolescence vêtue de noir me rongeait les sangs, et je croyais pouvoir le recolorer en lui rappelant ses rêves.

Autant dire que c’est de ma faute si Alexis Devallons a perdu ses jambes.

J’aurais mieux fait de me contenter d’un poste à la vente de popcorn, car mes qualités d’agent m’effrayent. Et d’ailleurs, je pense que le goût métallique sous ma langue se nomme culpabilité.

Le métal, c’est le fauteuil roulant. Gros, lourd et moche, il faisait figure de cage. Et il était noir. Rude au toucher, mais j’évitais tout contact direct.

On me demande souvent pourquoi je décris si peu l’accident. Je ne saurais pas quels mots choisir, tout simplement. Je ne me suis pas pratiqué : je n’en ai jamais discuté avec Alex. Pour la première fois, il y avait un tabou entre nous, et il était plus énorme encore que son engin à roulettes.

Par respect pour lui, je vous demanderais de ne pas le prendre en pitié. C’est ce genre de gars-là, Alex, et il ne supportait ni les soupirs impatients poussés par des impatients, ni les regards débordant de fausse compassion par de faux gentils.

J’admets toutefois que ce n’est pas votre faute; je n’ai pas pris le temps de bien vous décrire cet être singulier, un peu décalé au reste du monde mais réellement attachant. Ma narration deviendrait lourde si je devais vous expliquer le comportement paradoxal d’Alex, car c’est là une tâche ardue à laquelle je ne compte m’attaquer.

Ses états d’âmes tristounets affolaient sa mère autant que moi. Ça nous a encore plus rapprochés que les pâtisseries sucrées. Quand Alex faisait de la réadaptation physique, on discutait de lui, ainsi que de tout et de rien. J’apercevais les ridules creusées dans ses joues, près de ses yeux et sur son front. Ma mère en avait aussi. J’entendais l’hésitation entre chacune de ses phrases, même attitude que la mienne devant Alex.

Je n’avais jamais songé auparavant à discuter avec un adulte et pourtant, c’est fortement enrichissant. Des fois quand je parlais, ses yeux se tournaient vers Alex et elle se perdait dans le flot incessant de ses pensées troublées, et des fois c’était le contraire, c’était moi qui cessais de l’écouter.

Mais elle comprenait. Elle tient de son fils pour ça.

Quatre. Réapprendre à voler.

Un matin, Alex s’est réveillé la mort dans l’âme, du béton dans les jambes. Lorsque sa mère est venue l’aider à s’asseoir, il lui a demandé de rester couché un peu plus longtemps. Comment pouvait-elle lui refuser quoi que ce soit?

Il m’a plus tard expliqué que le sommeil avait un petit côté alléchant. Et me l’a expliqué comme je vous l’ai expliqué, pour qu’enfin je le comprenne. Il s’attendait à ce que je le traite de lâche. Je n’aurai pas pu. Chaque souffle, chaque tranche de sa vie prouvait son courage.

Le courage n’est pas une vertu infaillible.
Son fauteuil butait contre les cadres de mur : il n’avait pas l’habitude. Son auto ramassait la poussière, toute cabossée et détruite qu’elle était- comme lui, disait-il avec mélancolie.

« Tu devrais peut-être l’amener à la casse », ai-je suggéré un jour, je ne me rappelle plus lequel, mais l’humidité pesait sur nos épaules et rendait nos chandails trempes.

Il a souri, sourire un peu amer, un peu distant. « Je compte le faire, bientôt. »

Dans son trop plein de bouillon d’ingéniosité, il avait enregistré d’autres paroles que les miennes, sans que je le sache.

Cinq. Retour vers le ciel.

Il a perdu ses jambes, mais il s’est acheté une paire d’ailes.

Il aurait pu trouver autre chose. Je commençais à m’y habituer, au fauteuil, il aurait pu le garder. Mais cette fois, je comprend aussi. C’est si calme maintenant dans sa tête.

Ce n’était pas de la lâcheté. Ce n’était pas du courage non plus. C’est juste dommage.

Les entrailles me serrent le ventre, des hoquets difficilement contrôlés me secouent les épaules. J’ai à nouveau huit ans, je pleure parce qu’il n’y a pas d’autre moyen de faire sortir le méchant. Je me demande si c’est aussi ma faute à moi si mon seul vrai ami est mort. La main de sa mère tient la mienne, celle de droite, tandis que ma mère prend ma gauche.

Je ferme les yeux, j’écoute les paroles dites de réconfort. Il a rejoint le ciel. Il va mieux. Il marche de nouveau, court, saute… Il veille sur nous et nous attend. Il dort profondément et paisiblement. La voix du curé apaise mes angoisses pour un moment. Pendant un moment, mon ami va bien et me fait signe. Il porte de nouveau un col roulé vert et des lunettes rondes.

Dès que mes paupières se soulèvent… Une boule dans ma gorge, d’autres larmes, d’autres questionnements et cris d’injustices. C’est moche à dire, mais c’est ça, la réalité. Sauf qu’Alex semble vraiment dormir. Ses traits sont lisses. S’il ronflait, si sa peau n’était pas si froide… à défaut de cela, ses yeux sont clos. Ses yeux sombres comme la mort…

Mes yeux à moi sont verts. Je pense que c’est pour ça qu’il m’a choisi. Aujourd’hui, mon regard s’est habillé avec des panoplies de deuil, l’iris étant assombri et le blanc se noyant dans mes pleurs.

Mon esprit s’embrouille, je ne peux même pas raconter avec cohérence cette vie brève entremêlée à la mienne. Il était une fois Alexis, puis arriva la fin.

En y repensant, il y a une fille dans notre classe qui a les yeux noirs comme les siens. J’irai lui parler, demain.

Si a=b et que b=c…

x fin x

Nope, pas de genre en particulier. Commentaires toujours appréciés (surtout les trucs intelligents, que ce soit pour dire que c'est mauvais ou pas) (et oui, je sais à quel point mes temps de verbes sont pas ajustés... xD)

Houla c'est un vrai Roman^^

Mais c'est pas mal

(jkiffe trop la coiffe à allen)^^'

Et c'est qui qui flood maintenant, Hell? xP

Bein ça prend que 3 pages de Word, donc c'est pas si long... xD (Et là encore, j'ai pas fait trop de descriptions... ^^ )

Waow c'eètait trop bien !!(j'ai meme pas lu la 1er phrase) xD

Guillaume, espèce de sale peste... xP

Et sur ce, je repars. ^^ J'éditerais s'il me vient une idée subite de chose à rajouter. (Donc, techniquement, ce message est du flood avec le potentiel de devenir consistant! xD)

tu sais que tu n'es pas obligé de l'éditer si tu veux poster ^^ surtout si c'est une autre idée ^^ tu peux refaire un autre mess c tout ^^

Mouais. Mais je vais quand même éditer l'histoire un jour ou l'autre lah! xD C'est pas mal brouillon. ^^'

Allez, Shika-kuuun. Montre nous une de tes rédac! xP

XD.......je suis pas trop fort la dedans mais bon, vu que pour linstant y a pas bcp de monde qui poste je peux en faire une....mais bon ne vous attendez pas à un roman ^^,


Un homme s'approchait d'elle, il portait une longue veste et un chapeau cachant son visage.

Que lui voulait-il?


La fille l'ayant remarqué commença à accélérer le pas. Elle jeta un coup d'oeil derrière elle et remarqua que lui aussi avait accélérer. En passant sous un petit tunnel elle se mit à courir suant de tous son corps, car elle avait entendu dernièrement aux infos qu'un tueur en séries avait tuer plusieurs personnes dans les environs. Après avoir couru sur plus de 50 mètres, elle jeta de nouveau un coup d'oeil derrière et la silouhette de l'homme avait disparu. Elle fut soulagée mais continue de courir jusqu'à ce qu'elle sorte du tunnel.

Une fois arrivé à l'extérieur, elle soupira longuement, elle était contente qu'il ne lui soit rien arrivé. Mais était-ce bien vrai?

Une main la saisit tandis qu'une autre main lui couvrit la bouche. Etonnée et effrayée la fille essaya de se débattre pour se sortir de son emprise. Mais l'homme ne bougea pas et la serra encore plus fort.


-Qu'est ce que tu fais? lui dis une voix familière.
-???????, s'étonna la fille ayant reconnue la voix.

Voulant se retourner, l'homme la laissa le faire, il la lacha et enleva son chapeau et annonça:

-Ce n'est que moi!!

La fille le giffla et commença à pleurer. L'homme la serra dans ses bras.

-Mê...m...e....si....tu es......mon petit...-ami...tu n'as pas...le...droit de faire....ça!!! sanglota-t-elle.


Voilà, c'est pas trop fameux mais bon ^^'.

EHHH pourquoi je peux pas éditer mon message??? O___O J'ai réécrit le texte depuis et bon... POURQUOI JE PEUX PAS??

Xd je crois que c'est parce que j'ai réglé qqpart dans l'administration que tu peux éditer ton mess après un certain temps seulement ^^ mais si c'est trop longtemps apres tu peux pas ^^

... C'est nul. Vraiment. XD Change ça! XD

nn pas envie^^ si tu veux poster t'as cas faire un new mess ^^'

Mais c'est la même histoire, ça aurait pas de sens de la reposter!!

(J'arrive pas a croire que j'ai pu douter une seule seconde de ta paresse, cousin)

xD

ben tu fais "cf: tel message" XD